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Arriba! TEX MEX!
Comme un fimament
Notre ferme, maman, est ornée comme un toucan
Gargamel en carousel, les bambins qui s’émerveillent jusqu’à la lune de miel
heptagonalement vôtre, diamétralement mien
Tout pour pas nourrir le chien d’mon martien avec du sarrasin
Subtile abîme de désespoirs comme si plongés dans nos devoirs
Ventre éloquent, ventriloquent
Source de réservoir, DROGUE en jouant aux pogues
Rien ne s’gai, ni ne s’mère, tout se transgenre
Pellicules de sourcils, c’est c’que m’ont dit tes amis illuminatis
Par la grâce de la clé de voûte se déploie le noune-à-vous
La déneigeuse est-ce qu’est pleine? Ta pelle est au Nunavut
Une ver de plaie c’est bien, mais deux c’est mieux
Vite évincée elle me rappelle CocoChanelle
Sur son coco charnel que j’eusse connu juste le temps d’u-ne ritournelle
ONF ONF OP office nationale du film!
Sodomie ou saut d’ami
à la plus belle géométrie
Corpsepaint cubiste et/ou harlequin nudiste
Mythe du sceau d’eau à moitié rempli
Gomorrhe et Sodome enfin réunies
À l’intérieur de son kaléidoscope
J’ai pris le thé avec Diogène de Synope
Cannellonis! cannelle ovnis! calomnies!
Parti pri, parmi qui? Party pire qu’au pharmaprix
Canari et bistouri, c’est la devise d’Urgel Bougie
Ravi ravira Raoul, ruelle muette
Raël râle, son reel est réel à la palestre comme en Palestine où à la chapelle sixtine, tentations intestines
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Secrets for Jocelyne...
01:19
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Dur à cuire
04:19
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Exhibons nos nénuphars, enfilant un neutron
En tripotant, Rentrera pas tant, Ventripotent, Vent ripostant
Aucun vilebrequin, taillé à point, ’ videra l’engin du vil requin
Dégringolant sur le divan collant, suintant, encens fuyant
Mal mastiqué, cet étranger à mon évier, jamais ne sera laqué
À la soupe, soupe au lait, millefeuille croustillant à souhait
Un met gourmet, si seulement ça rentrait!
Le chaudron dit non, attriste le bleu cordon
Aucune place dans la dépense pour son omniprésence
Pas d’pauline dans ma poutine, badigeonné à la vaseline
Son avenir Al Dente m’inspire un méchoui à croquer
Ouvre-moi tes fesses, que je te pédoncule
Donne-moi ma ceinture brune, au plus creux de saturne
Corps brûlant, a pure hanche, opulence et corpulence, entre dans la danse (tout) en prudence, or plus dense et hop Ulrich! Mouchez mouchards touchés, mousse émoussée, moustache et gousse tachée, Tout est givré, sauce VHS, l’intolérance va tous nous tuer! J’me souviens du jour où j’ai compris qu’quand t’engloutis tu t’alourdis, ragoût d’vomi! Bouillie boulimique d’un jeune type trop typique, deux yeux tournés, un filet mignon. Par pitié, sangliers, occultés, désenculés Fais-moi cuire, fais-moi jouir, dur à cuire.
Tant qu’à manger des langues de porcs, optons pour les fœtus morts
Faire fondre cette pulsion qui adore, gloutonnie sort de ce corps
Le gooch tartiné de proscuito
C’est ben trop gros pour mon burrito
Sans pitié pour ces pauvres électroménagers
Requiem d’un mobilier, festivités à tout casser
Amélie a mêlé, âme ailé à Mel et Hamel est mal aimé
T’es parti su’a robine, là où dîne Marc Lépine
T’empiffrant en sourdine, d’exquises enzymes de clémentines
Un cucurbitacé asperge ta tête fromagée
Le burlesque fait paniquer, carnaval spontané
Colle ta sauce, ose et saute à saute-mouton
Il récoltait tous les sots et cornets du Sault-au-Récollet
Comme le sébum de licorne ne prend sa forme qu’à l’automne
Pour cette tarte aux hormones, nous faudra-t-il un lèvre personne?
J’ai jamais vu un cachalot
J’ai jamais bu l’crachat d’Carlo
S’il peut grossir en un soupir
Comment faire cuire ce dur à cuir?
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4. |
Anaal Matraque
01:41
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LES PORES DE PEAU DILATÉS, TOUT PEUT Y ÊTRE INSÉRÉ
GRAVIER OU SABLE DE CHANTIER, VIVEMENT SA TEXTURE ROUILLÉE
S’BAIGNAIT L’BEIGNET, APÂT POUDREUX ET DOUILLET
ANAL FASCISTE! ANALPHABÈTE
J’ai donné des coups d’pieds dans rue
PVC! Motus et gooch cousu!
bouches cartonnées par milliers
Ça prend 2 «t» dans « austérité »
Mais pas 3 «a» dans « anale matraque »
Un périple aux rocheuses
vilipende sa massothérapie
et brise le grattoir du bloc noir
Grippe porcine en combines
rapides et dangereux lépreux
Un petit peu trop high profile
Un peu moins humanisme
quand le pancréas te plisse
bois une soupe au zeste d’iris
Kung pow! Kong le pow-wow du prolétariat
Assaisonné à l’étudiant, le tie-wrap au poulet de monsieur l’agent
Le cuir rasé d’Potemkin
Le cuirassé t’aime pas, Kim!
Couchés sur sa civière si sensuelle
sont souillés cent soixante sots rouillés
Ça s’excite sul’ saucisson sournois en souricière
Ces souris persistent sans soucis sous le pot pourri
Des écailles de spectrogel dans ton assiette
Qu’est-ce que cette diète de muqueuse amphibienne
Mordillant les l’écorce de ses extrémité
Aventureuse gerçure du policier
Police pas lisse, police pas lisse
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5. |
Nathalie
02:33
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Toi, dans ma mire, aux yeux saphirs
contre qui j’aime me blottir
laisse boire ton élixir
Jusqu’à se faire vomir
Si sa grand-mère c’t’une conne
donne y d’l’opium en hexagone
je l’entends dans l’interphone
Les oreilles je me savonne
L’étuis s’ennuit d’Ali s’en dit épris t’as ris, torride, mes nuits d’Asie
Jadis, une vis aux cuisses évince iris d’une écrevisse sans vice, sauf six : Duplessis
Je t’aime
J’ai des ailes, je m’en sert pour trouver la lumière, je monte vers le ciel
Si fidèle tu es, devant toi mes yeux s’émerveillent, tu es tellement belle
Corps et âme, je cherche à comprendre pourquoi tu me blâme, jolie rose se fane
Mon âme pleur, j’ai peine à entendre les battements de ton cœur, je vois la lueur
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6. |
abcdesghijklhymèneOP
00:03
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abcdefghijklmnop
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7. |
Fantasmegorique
06:07
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Action, raie action!
Ovide vide l’eau d’un ravin excellent pour les suicides
À l’evers, verlan, potecas ou spocta, pas d’cachous tiramisu
Un méchant morceau pour
l’idiot qui sirote son sirot d’cire de six rots
mais toi, dis-moi, quelle est la couleur de ton cerveau?
J’a catchais, j’a catch pu!
Si t’as des vélos à vélocité d’cité d’velcro – méli-mélo ou révélo? – mets ta vieille eau dans mon jello, gooch senile pro
Vision costique, cosmétique, micro-macrocosme éthique, prostate qui pique
Parle à travers le ti chapeau de tes hypopothèses
Avec des tampons d’in tympans, à quel genre d’étampe tu t’attends?
Vis, égo ou minigos, même combat que les Wisigoths!
Quand, vermeilles, y t’éclatent de leurs briques et braques écarlates,
Perçants comme tes yeux de psychopathes, de quoi finir autopsié aux pattes
Si j’ai pas accès à ton vagin, je m’accouplerai avec ton bulbe rachidien
J’m’appelle «Parce qu’y’a une rivière» pis j’exauce des «Veux-tu une lumière?»
Kumbucha comme dans douche à babouchka, cum en bouche comme dans Mom boucher, m’a me moucher, concombre bouché à col roulé, Crever pour une crevette humectée
Un viol de laid, c’est bien, mais deux c’est mieux! Surtout quand tu soupe au lait avec deux hébreux hideux.
Ça fait pas des enfants forts, mais ça t’remplit un ténor d’une suite pour tintamarre bizarre
Un ovni, deux ovnis, avides de truies acides, hormis rideaux ou vidéos, stéréo,
au vif de ta libido, un coup parti, photographiez vos ennemis!
Aucun compte à rendre à la réalité
affrivolante, afro volante
Petit pipi papa popo
Paria puriste
Palindrome organique
Bouche-trou galactique
Rêverie orgasmique
Pas pour pépé pas beau pas d’peau
Sans gaufres ectoplasmiques
C’pas comme ça qu’on se mutile, le temps file et de fil en aiguille tu perds tout ton fil
Un ravin parfait, un périple tellement lucide, excellent pour les suicides
Le récif me souriant, posséidon y plongerait
Si la gravité le permet, avec moi je t’y traînerai
La patience est une vertu mais y’a pas d’science et le vert tue
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8. |
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Ronnie James Diogène, Ôte-toi d’mon soleil!
J’ai les goochbumps, saveur d’opium
Comme on éclope la clope (au) cloportes
Mélanine tardive, là c’est les bums qui récidivent
Le sébum du récit d’Yves, signe que pluton était naïve
J’ai jamais catché comment WDNFRA ont pu tourner au Mexique si l’Amérique latine est en bas des USA
Printemps tardif et automne précosse, rapporteur d’angles comme cadeau de noces
L’agrume des jours ou l’abajour de l’écume, Le Major criait « Plus de légumes! »
Tzadziki, Swatzika, quand Kadafi nous révéla
que parmi toutes les fermetures éclaires, même Hitler avait une mère!
Déchéance d’échéance, dèche et hanche en échange
Est-ce le nihilisme qui fait languir?
Si on construisait rien, y’aurait rien à détruire
Accaparé à satiété, romantisme au singulier
Comme une anguille dans un jeu d’quille
Ou un diplodocul dans une feuille de laitue
Saigner du nez toute la journée
Ramassé à tite cuiller athée, gooch sans cesse accaparé,
Même pas le temps de se suicider
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9. |
Bánh mì
00:27
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J'aime ce moment où l'on se dit tendrement
Bonne nuit... Bonne nuit!
Bonne nuit de la lecture
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Tribunal Montréal, Québec
Jeunes assoifés et écervelés, produisant un son coloré et inhabituel!! Un band excentrique de la scène métal montréalaise.
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